Décider de travailler sur soi avec un coach, un psychologue, un psychanalyste ou un psychiatre requiert beaucoup de courage.

Le courage d’accepter l’idée que l’on a besoin d’être accompagné par une personne compétente (et tenue au secret professionnel), le courage de s’engager sérieusement dans ce travail et le cas échéant, d’affronter les jugements des proches.

La première étape est de prendre conscience et d’accepter que nous avons besoin d’être accompagné.
Etre honnête avec soi est l’un des premiers pas nécessaires dans le travail sur soi.

C’est à ce moment que notre entourage peut nous dire : mais tu n’es pas fou/folle, et cela peut finir par avoir raison de notre résolution de nous faire accompagner.
Certaines personnes renoncent avec cette seule excuse. Une excuse qui masque la peur de se découvrir, et de prendre ses responsabilités.

– Maître, que veux dire travailler sur soi ?
– C’est cesser d’espérer que les autres changent.
Auteur inconnu

Ensuite, cela peut être difficile, douloureux parfois, de se livrer, de revenir sur des évènements traumatiques, de se découvrir sous des facettes jusqu’alors occultées, laissées dans les limbes de l’inconscient…

Il arrive même que certaines personnes clament haut et fort leur désir de travailler sur elles, leur envie d’aller mieux, mais se défilent à la moindre occasion. D’autres ne parlent pas du sujet qui les a amenées en séance, et prétendent que tout va bien.
Tout ceci se passe dans leur inconscient, et c’est ok. Cela peut signifier qu’elles ne sont pas prêtes, que ce n’est pas le bon moment et/ou qu’elles n’ont pas trouvé le thérapeute qui leur convient.

Si l’investissement est grand, le bénéfice que l’on en retire est lui plus qu’à la hauteur du courage investi.

Apprendre à se (re) connaître, à s’accepter, et à s’aimer tels que nous sommes est le plus précieux cadeau que nous pouvons nous offrir.

Retrouvez ici ce qu’un travail en coaching peut vous apporter.