Lorsque nous nous sentons bien, le câlin nous transmet la joie de nos proches à vivre auprès de nous, leur énergie positive, leur affection, leur amour.
De même lorsque nous avons passé une mauvaise journée, le câlin de l’un de nos proches viendra nous apaiser et gommer le stress ressenti.

Ce geste simple est un excellent moyen de prodiguer notre soutien, une énergie positive, notre affection à une personne que nous apprécions.

Nous savons d’instinct, le pouvoir transformateur, guérisseur et apaisant du câlin et le câlin est l’une des premières choses que nous offrons à nos enfants, nos bébés sans même avoir besoin d’y réfléchir.
Les câlins, la tendresse et l’amour ainsi transmis sont essentiels au développement de l’enfant autant sur le plan corporel que psychologique, et définissent aussi l’équilibre du futur adulte.

Il y a cependant des personnes qui n’aiment pas recevoir et/ou donner des câlins. Suite à une ou plusieurs déceptions, elles ont construit une tour de protection si haute autour d’elles, persuadées que c’est la solution pour ne plus se sentir vulnérables, pour ne plus être blessées à l’avenir… Elles ne permettent plus aux autres de les approcher avec cette tendresse particulière inhérente au câlin.
Pensant se protéger, et se préserver ainsi de blessures futures, elles se privent du bonheur de partager cette tendresse avec ceux qu’elles aiment et qui les aiment…
Ces personnes se retrouvent piégées en elles-mêmes et souffrent de ce fait bien plus au quotidien (souvent de façon inconsciente) qu’elles ne pourraient souffrir d’une éventuelle déception de temps à autre…

J’ajouterai pour conclure, qu’un câlin ne coûte rien, sinon un peu de votre temps (de quelques minutes à autant que vous le souhaitez), qu’il a des propriétés apaisantes, guérisseuses, qu’il renforce la confiance, qu’il relaxe et peut également être une forme de méditation.